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  • : Le blog d'eve anne, Madrid.
  • : Le blog qui fait plaisir

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Premiers Extraits

Rencontre en forêt

tn Foret

J’ai fait une sortie  hier soir en fin d’après midi, et je ne sais pas pourquoi, j’ai pris mon VTT plutôt que le vélo. Dans les chemins de la forêt j’ai été doublée plusieurs fois par le même gros 4x4.  J’ai eu l’impression que le mec voulait attirer mon attention. J’ai remarqué, au moment où il me doublait, qu’il ne portait rien, il était torse nu. Nos regards se sont croisés, Puis il est parti loin devant. Il faisait doux, pas de vent, la forêt sentait bon. . . . . . . . .

La Devise du Québec

tn parlement quebec

Québec hiver 1876, en fin de matinée le soleil donnait à la ville gelée, les mille feux du diamant. Le froid était vif et les passants emmitouflés étaient peu nombreux. Pourtant, sur le trottoir ensoleillé, un homme ne semblait pas ressentir de gêne à déambuler tête nue, normalement vêtu, ou plutôt anormalement vêtu dans l'air glacé. Il n'avait pas de gants, et son regard bleu était perdu dans le rêve où il flottait. Il tenait à la main un petit rouleau de papier, et ce feuillet enroulé faisait de lui l'homme le plus heureux de la terre..............................

Le Testament de Benjamin Briggs

tn 200501454

 

Les arbres du Square Victoria commençaient à dérouler leurs feuilles. Florane-Marie D'Auteuil avançait à pas légers le long de la bordure du trottoir de la rue du Square Victoria. Malgré le soleil qui avait embelli la journée, l'air était encore frais. Elle tenait bien fermé contre sa gorge le col de fourrure de son manteau d'hiver. Florane était la fille d'un diplomate  français décédé au cours de l'hiver dernier. Après un séjour de trois ans en Bavière. Elle vivait à Montréal depuis deux ans......................

Les Jours de Liesse.

tn Milani

Il faisait un temps superbe ce jour là. Dans la petite bourgade de Saint André, ce village touristique de Haute Provence près du lac du Castillon, la saison touristique était à peine commencée. Pourtant, il y avait pas mal de monde en ville, et déjà quelques nageurs courageux dans les eaux glacées. Pour certains c'était déjà les vacances, mais pour d'autres, le travail était encore d'actualité. Il faisait déjà chaud. Pourtant, le bourg est à neuf cents mètres d'altitude. Le soleil comme toujours dans cette région était de la partie. Derrière les baies vitrées des bureaux, les employés commençaient à souffrir de la chaleur. .
.


La Chapelle Saint Domice

tn amiens chapelle st domice

Depuis que Karen avait disparu, Adrianne vivait l'enfer.
Elles étaient amies de longue date, ce qui semblait être pour les autres une camaraderie d'adolescentes, était en réalité un grand amour partagé. Karen et Adrianne poursuivaient avec brio leurs études de médecine. L'une serait Sage femme, et l'autre voulait être gynéco. Elles n'en étaient pas encore là,  elles avaient encore quelques années à travailler comme des esclaves pour espérer arriver à quelque chose.

Noire d'écume

tn cadiz cate

Les voyages sont sûrement ce qui me motive le plus. Lorsque j'ai choisi de faire ce métier, je n'y avais pas pensé réellement, ou alors, ce n'était pas l'élément fondamental de mon choix. Et pourtant, c'est ce qui m'apporte le plus. J'adore voyager. Me rendre au pied levé dans telle ou telle ville, ou dans ce pays ou un autre, est pour moi le plus grand des plaisirs. Ce n'était pas à priori évident. Il faut apprendre à voyager, comme il faut apprendre l'envie de voyager

Le Chemin de Badajoz

tn Teresa

Teresa fatiguée, s’arrêta au bord de la route sur un petit refuge, à un kilomètre environ du carrefour de la route nationale,
à la sortie de Talavera de la Reina.   Elle hésita un moment avant de prendre une carte dans la boîte à gants. Elle était de mauvaise humeur. C’était un geste machinal, car en fait, elle connaissait bien la route. Mais en cette fin de journée, elle ne se sentait pas bien, ni dans son corps, elle avait froid, ni dans son esprit, elle était là à contrecœur.


L'infirmière d'Ambazac.


tn Ghylaine 9

Excusez moi de vous déranger, je m'appelle Ghylaine, et je suis infirmière à Ambazac. » Elle était un peu plus grande, très mince, les cheveux mi-longs, coiffés à la diable. Le maquillage assez discret, un rouge à lèvres  framboise, les sourcils très noirs, les paupières ombrées. Un grain de beauté sur la lèvre supérieure à gauche. Le premier examen était favorable. Ghylaine souriait, Laurence lui rendit son sourire.


Un douze Avril

tn Joelle et moi

Un 12 avril …. Oui c’était un 12 avril, je m’en souviens très bien, c’était le jour d’anniversaire de ma maman, et j’étais allée déposer une potée de tulipes sur sa tombe, des tulipes perroquets rouges et blanches, ses préférées. C’était la fin de l’après midi, à l’heure où le soleil, bas sur l’horizon, allonge les ombres, et colore la nature du vert jaune des feuilles naissantes, du bleu de ciel et de blanc nuages. Il faisait beau, il faisait doux. Sur l’autoroute il y avait peu de circulation ou du moins elle était fluide

Le Chaos de Targasonne

tn Pisc


Sur les hauteurs des Pyrénées-Orientales, la Cerdagne est un vaste plateau  ensoleillé, un encorbellement entre le mont du Carlit, et celui de Puigmal, tous deux culminants aux alentours de 3000 mètres. La Cerdagne est à une altitude de 1600 mètres en moyenne, et elle a la particularité d'être une région fertile, bien que de haute montagne, puisque l'on y récolte des céréales, du blé principalement. On y vient de Perpignan par la route qui monte à Font Romeu, ou par le côté Espagnol en traversant l'Andorre.

Le Coupe Chou

tn Le coupe chou 1

La Gare de Lyon à l’heure des grands départs, est habitée d’un esprit particulier. Peut être est-ce simplement la concentration des voyageurs en attente. C’est cette odeur particulière, faite d’humanité, d’ozone et de poussière. Ce grand espace qui fait face aux quais, animé de ses panneaux affichant les horaires, et les milliers d’yeux, levés vers les chiffres verts qu’ils ne semblent pas comprendre .Et puis ce sont tous ces jeunes avec sacs au dos, assis sur les murets des escaliers descendant au sous-sol .Ils fument, ils mangent d’énormes sandwiches, vident quantité de boîtes de bière ou de Coca. Ils dorment ou s’embrassent, l’amour des fois, se fout du décor .

La Mante


tn aigumidi

 Je la reconduisis à la porte. Les quelques pas qu'elle fit devant moi suffirent à provoquer mes plus secrètes fêlures. Sa démarche, ses bottines à hauts talons, son jean élimé aux fesses, ses fesses rondes perchées sur des jambes interminables, ce perfecto, qui était choisi sans doute uniquement pour mettre ses fesses en valeur, et cette chevelure de jais, coupée court, très bas sur la nuque, avec cette mèche savamment rebelle qu'elle remettait en place d'un mouvement de tête des plus étudié. Deux anneaux dorés apparaissaient alternativement au rythme de son pas décidé..Elle s'arrêta sur le palier, se retourna.

 

 Le Chaos de Targasonne.
III




A Laura.

 

Le soleil commençait  à baisser, les lumières extérieures de la maison venaient de s'allumer. Sans doute commandées par une cellule. Je m'étais levée pour accueillir l'homme, (ou la femme, ou les deux). J'étais toujours  nue. Je vis l'homme arriver vers moi. Torse nu, avec un bermuda à fleurs, musclé, les cheveux grisonnants. En me voyant il arbora un sourire radieux. Au moment où il allait ouvrir la bouche, Je le devançais, et je parlais la première:
« Bonjour Monsieur. Excusez-nous d'abuser  de votre piscine, mais en vous attendant la chaleur était véritablement écrasante. Je m'appelle Noémie, et je  me suis trouvée ici, au cours de ma promenade. J'ai rencontré ce jeune homme, qui prétend, tout comme moi, acquérir cette maison. En vous attendant, nous avons fait connaissance, et nous sommes tombés à l'eau par accident.( Je ne pus réprimer un éclat de rire en disant cela.)
Au moment où vous êtes arrivé, j'étais en train d'expliquer à Magnus que j'étais arrivée la première et qu'il n'avait aucune chance.
- C'est à voir, je vais étudier vos propositions. » Dit il en riant,
« Mais tout d'abord, je vous souhaite la bienvenue, et je pense que vous avez eu raison de profiter des installations de ma modeste maison. De ce temps là , il est difficile de résister. Et cela me procure le plaisir de découvrir en arrivant, deux personnes de prime abord fort agréables. Laissez-moi le temps de me rafraichir, et je vous fais visiter. »
En disant ces mots, il fit glisser le bermuda, défit son slip, pour apparaître lui aussi dans le plus simple appareil. Lui aussi, comme Magnus portait le cock-ring. Je cherchais le regard de celui-ci, à qui bien sûr ce détail n'avait pas échappé. Je souris et pensais en moi-même: deux « passifs » je vais être obligée de faire l'arbitre !
Il se sécha, et ouvrit la porte fenêtre qui n'était même pas verrouillée. Nous avions remis, un peu de vêtements, mais j'étais restée seins nus, c'est comme ça que je me sentais le mieux.
« Je m'appelle François, on peut se tutoyer, ici c'est naturel, c'est l'influence ibérique. »
Et François nous fit visiter longuement la maison, du sous sol à l'étage, sans oublier la façade côté route, ou plutôt chemin d'accès. Il y avait aussi quelques petites dépendances, dont un garage ouvert ou étaient garés un 4x4 Toyota, et une tondeuse autoportée. (Un petit tracteur rouge). Pas de clôtures, que la maison, que des fleurs, que la nature omniprésente. Le véhicule de François était garé sur le côté, sur un petit recoin encaillouté. 
Je demandais à François si je pouvais me servir de la salle de bain, ce qu'il accepta en riant. Je me sentais un peu salie, et je sentais l'eau de javel à plein nez. Je pris une douche, et me recoiffai avec une brosse que je trouvai sur le côté du lavabo, dans un pot de terre cuite.



François et Magnus continuaient la visite, ils étaient maintenant de l'autre côté du mur, dans la buanderie où se trouvaient chaudière, chauffe eau, et machines à laver. J'entendais nettement leur conversation. François venait d'expliquer le fonctionnement du chauffe eau solaire, quand brusquement il changea de conversation :
«  Dis moi, la femme qui est avec toi, elle est vachement sexy, elle a une sacrée paire de nichons, vous n'avez pas dû vous embêter avant que j'arrive !
- Tu l'as dit, une sacrée paire, bien fermes, on a baisé dans la piscine comme des bêtes.
- Ha oui ? Et alors c'était bien ?
- C'était parfait, une baiseuse de première, elle adore ça. Je suis sûr que si tu n'étais pas arrivé on baiserait encore !
- Je ne voulais pas vous déranger, je ne pouvais pas savoir !
-Ce n'est pas grave, on avait terminé, je venais tout juste de l'enculer, apparemment elle adore ça !
-Beaucoup de femmes adorent ça !
- Oui, mais pour une lesbienne c'est plutôt rare !
- Bof, les lesbiennes s'introduisent des  objets monstrueux sans problème !
- Devant oui, mais derrière, c'est différent, je suis assez bien monté, et souvent les filles refusent, elles en ont peur !
- Et pas elle ?
- Penses-tu, elle a un cul énorme, ou alors elle a l'habitude. Enfin tu verras peut être, pour avoir la maison, elle est capable de tout accepter.
- C'est bien on verra si tu as raison. En tout cas, je la trouve assez belle.
- Oui, une belle baiseuse, une belle salope comme je les aime! »

 

Les voix devenaient imperceptibles, et je me retenais de ne pas éclater de rire. Les hommes sont vraiment des dégueulasses, ils vous font des tas de compliments devant, et ils parlent de vous comme de vulgaires chiennes. Je pense que la vérité c'est qu'ils sont jaloux de la capacité que l'on a à faire durer le plaisir. En tout cas, François est maintenant au courant, peut être va-t-il profiter de l'aubaine ? Ce n'est pas tous les jours qu'une « salope » vous tombe du ciel ! Je sortis de la salle de bain. Toujours dans le plus simple appreil , je rejoignis les hommes.
« Alors les garçons, on papote ? Je suis sûre que vous disiez du mal de moi !
-Mais pas du tout, Magnus me racontait votre rencontre, et j'ai bien fait de ne pas arriver plus tôt !
- Pas du tout, la fête aurait été plus belle encore ! » Dis-je en souriant de toutes mes dents, et en fixant François dans les yeux. Celui-ci avait toujours aux lèvres ce sourire éclatant qui devait lui valoir bien des
conquêtes.


« Je vais vous servir l'apéro, bien sûr vous restez dîner avec moi, il faut bien que l'on aborde le sujet de votre visite. A moins que vous ne soyez retenus ailleurs !
-Je suis libre comme l'air » Affirma Magnus, j'ai tout mon temps, et j'accepte l'invitation, à condition bien sûr que Noémie l'accepte aussi, je ne voudrais pas abuser de la situation !
- Personne ne se fera de mauvais sang pour moi, je suis une femme libérée !
- Libérée ou libre ? » Demanda François.
-Libérée et libre, bien que plutôt lesbienne, j'ai un mari adorable, qui m'autorise tous les caprices, et je ne lui cache rien. Je partage tout avec lui, et lui, tout avec moi. Mes joies, mes peines, mes envies mes débauches.
- Alors c'est un homme heureux ! Et vous François votre épouse ?
- Elle est actuellement en famille, et comme Noémie, elle est très portée sur le relationnel, et elle serait très malheureuse si je ne la laissais pas assouvir ses fantasmes.
- Hé bien tout le monde est heureux alors, mais aurais tu quelques vêtements à me prêter ? J'ai oublié ma robe de soirée. - Va  dans le dressing, et sers-toi, encore que je te préfère quand tu es nue comme tu l'étais quand je suis arrivé.
- Ok, mais j'ai peur que cela te donne des idées !
- Peur ? N'aie crainte, il n'y a aucun risque pour toi dans cette maison. D'ailleurs, il fait encore lourd, je propose de rester nus tous les trois. »
C'est ainsi que François nous servit un whisky on the rocks, bien évidemment. Je trouvais la situation absolument surnaturelle, et j'accomplissais  ainsi le fantasme le plus répandu des bourgeoises lubriques. Magnus était alangui sur le fauteuil de cuir, les cuisses légèrement ouvertes, et je voyais ses testicules très descendus posés sur le cuir du coussin. J'adorais cette particularité, plus les testicules étaient bas, plus j'étais excitée.
A ma gauche, François était dans la même position, mais je ne distinguais pas son entrejambe. Pour donner le change, j'écartais aussi les cuisses, pour que mon sexe soit visible et légèrement ouvert. J'étais bien sût totalement épilée,   ce qui laissait voir mes grandes lèvres largement ouvertes, et mon clito très volumineux émerger sur le dessus. L'anneau d'or qui perçait le périnée était visible, et je le savais très excitant.

François était aussi de la classe des « TBM » (très  bien montés) Je savourais cet instant avec beaucoup de plaisir. Ces deux hommes nus, le sexe entouré de cet anneau de caoutchouc noir qui devisaient, décontractés.

Je savais évidemment comment tout cela allait se terminer, et je sentais que les garçons n'attendaient que ce moment aussi. Ce que je ne savais pas, c'est si leur envie était de me baiser, ou de s'envoyer en l'air tous les deux.

Pour calmer les chaleurs que je sentais monter entre mes jambes, je me levais pour faire le service. Je me plaçais face à François, qui écarta légèrement les cuisses pour me laisser voir l'ensemble de ses appas. Les testicules tombaient aussi très bas, et le pénis avait un début d'érection. Quand il croisa mon regard, il souriait et ses yeux pétillaient de malice. Je lui rendis son sourire, consciente que mes seins tombaient très bas et que souvent les hommes en étaient tout excités. Je savais aussi que Magnus en cet instant contemplait ma croupe, et je ne faisais aucun effort pour serrer les fesses. Je fis demi-tour pour servir Magnus dans les mêmes conditions. J'étais très penchée en avant, mes seins frôlaient ses genoux. Il avança la main, et soupesa le sein gauche. Je vis son sexe remuer. Je regagnai mon fauteuil, que je déplaçais légèrement, pour offrir le même spectacle à l'un comme à l'autre. J'écartais franchement les cuisses, sans aucune retenue. J'étais « une belle salope », je devais mériter la qualification !

Je pris la parole :
 Il est peut être temps que François nous confirme s'il est vendeur ou non ?
-Tout est à vendre dans ce bas monde, ce n'est qu'une question de prix. Quelle est ta proposition Magnus ?
- Je laisse parler Noémie.
- Serais tu devenu soudain galant ? Moi, j'offre 1 million d'euros !
- Magnus accusa le coup, il ne s'attendait sûrement pas à une somme pareille.
- Je suis désolé, je ne peux pas suivre.
- Adjugé pour Noémie ! Je vous signale que j'ai acheté cette maison dans la liquidation de Thémis, et que je l'ai payée 80000 Euros. Mais j'ai dû faire quantité de travaux !
- Chic ! on va arroser cela. Me voici propriétaire de la maison. Tu vois, Magnus, quand tu
me demandais si j'étais touriste ou propriétaire, je t'ai répondu « Bientôt propriétaire !
- C'est vrai. Mais je pense que je jeu n'est pas égal, si j'avais eu des seins comme les tiens, j'aurais eu plus de chance !
- Pas du tout, répondit François, seul le prix à de l'importance. Encore qu'une femme comme Noémie n'a pas de prix !
- Enfin un mot aimable ! ça change de la « salope » de tout à l'heure.
- Ha ! Tu as entendu ? Je n'ai pas voulu t'insulter. Dans ce contexte, le terme de « salope » est un terme affectif qui dénote un goût prononcé pour les choses de l'amour. Mais si cela te vexe, je retire ce mot et je te fais mes excuses.
- Ce n'est pas suffisant !
- Quoi d'autre ? Que puis-je faire ?
- Viens ici !! Et vas y doucement.»
Et m'allongeant un peu plus dans le fauteuil, j'ouvrais un peu plus les cuisses. J'étais maintenant béante, le sexe totalement ouvert, et Magnus se jeta littéralement dessus et le prit à pleine bouche. François se leva.
« Je vais préparer le dîner. Peut être auras tu encore faim Magnus ??? »

Magnus avait encore faim, j'avais également de l'appétit, et François dévora aussi cette somptueuse salade qu'il avait préparée pendant que Magnus me faisait jouir comme une malade. Le repas à la chandelle, cette maison magnifique, les fenêtres ouvertes sur un coucher de soleil somptueux, et nous trois, toujours dévêtus, discutant doucement dans cette atmosphère feutrée. À cette altitude, il n'a pas d'insectes, et les fenêtres peuvent rester ouvertes, apportant un peu de fraîcheur après cette journée d'enfer. « Je vous proposerais bien un bain de minuit, mais pour ma part, je préfèrerais aller me coucher. » c'était l'avis général. Je débarrassais la table en un clin d'œil. François remplit trois verres de cognac, et le temps de siroter ce tord-boyaux, on discuta encore un peu sur la terrasse.
« Je suis très bien avec vous, mais je passe à la salle de bain et je vais me coucher !
- Ok, on y va aussi. » François baissa les stores et laissa les fenêtres ouvertes.
« Si je ferme, ce n'est pas à cause des voleurs, mais des animaux, j'ai déjà trouvé un renard endormi sur un fauteuil ! Ce n'est pas dangereux, mais ça sent très mauvais. Je pris un soin particulier à faire ma toilette. J'avais beaucoup transpiré, j'avais été noyée de sperme, je ne souhaitais pas conserver quelques odeurs désagréables. Tant pis pour la maîtresse de maison, pensé-je, en souriant, je me sers de tout ! Je sais qu'elle ne m'en voudra pas !

Un foulard noué autour des reins, je retournais vers les chambres. Toujours les seins à l'air qui ballotaient au rythme de ma démarche. J'étais toujours étonnée voyant les minettes d'aujourd'hui balancées comme des miss, que des seins comme les miens puissent faire bander les mecs ! Et aussi  les filles d'ailleurs ! Mais j'étais comme ça, je m'aimais comme ça, et le jour où les regards se détourneraient de moi, je grimperai sans hésiter sur le billard.

Je passais devant la grande chambre. Les garçons étaient là, et ce que je vis, me surprit à peine. La lubricité était de mise dans cette maison, et je vis Magnus debout, jambes écartées, et François à genoux lui faisait une fellation vigoureuse. La grosse bite de Magnus emplissait totalement la bouche de François, qui visiblement appréciait ce calibre-là. Je trouvais la scène très excitante, et après un petit moment de contemplation, je m'approchais d'eux. Je me saisis du sexe de François et lui donnais un peu de vigueur. Quand il fut arrivé à l'horizontal, je me mis à quatre pattes, et  à reculons entre les jambes de Magnus, je vins m'empaler sur François.

« Ne jouissez pas tout de suite, faites durer le plaisir, j'en veux un peu aussi. Mais c'était trop tard, je sentis  que François recevait dans la bouche tout le foutre de Magnus. Il avala tout avec délice. Il se retira de moi, sans avoir joui, et me retournant, je le vis lécher avidement le bout du gland pour ne pas en perdre une goutte. Je me précipitais et je l'embrassais sur sa bouche pour avoir un peu le goût du sperme de Magnus. Puis François se releva, il bandait comme un cerf. Il fit pivoter Magnus, l'invita à se baisser et s'appuyer sur le lit. Il lui lécha consciencieusement l'anus. Puis, jugeant sans doute la lubrification suffisante,  il se releva et d'un seul mouvement s'enfonça en lui, lui arrachant un râle de plaisir. François prenait son temps, il limait doucement son partenaire. Les fesses étaient écartées, et Magnus visiblement aimait à se faire prendre. Je trouvais qu'ils m'oubliaient un peu, et devant les yeux écarquillés de Magnus, je commençais à me masturber.
François venait de jouir violemment. L'éjaculation de François semblait durer, peut être jouissait il plusieurs fois. De la bite de Magnus pourtant au repos, s'écoulait du sperme par petites saccades. Sans doute les restes de sa précédente prestation. Allongée sur le dos bouche béante,  j'essayai de récupérer ces quelques gouttes, Il attendait que François en ait fini avec lui. Moi j'étais toujours sur le lit, et je sentais monter en moi un sommeil inévitable.
Et puis je ne vis plus rien, je m'endormis.
Je me réveillai au beau milieu de la nuit, j'avais un peu froid. François dormait à côté de moi. Magnus ailleurs, je ne savais pas où.
Je me rapprochai de François pour me réchauffer. Je ne sais pas s'il dormait vraiment ou s'il faisait semblant. Dans la lumière blafarde du clair de lune, filtrée par les fentes des stores, je le regardais dormir. Je le trouvais beau, abandonné, repu de jouissance, de plaisir et d'amour. En suivant la ligne de son corps argenté de lune, je vis qu'il présentait une belle érection. Il ne m'en fallait  pas plus pour sentir me monter le feu au visage, et mon entrejambes ruisseler de désir.

Avec douceur comme pour ne pas le réveiller, je me plaçai à califourchon sur lui, et lr prenant à pleine main, je le guidais entre mes lèvres. Je sentis qu'il se réveillait. Il étendit ses bras pour se saisir de mes seins. Quand il pinça légèrement les tétons, je sentis mon désir redoubler. Puis je me rendis compte que Magnus était revenu, et qu'il s'installait derrière moi. J'allais réaliser le fantasme de bien des femmes, j'allais enfin avoir ce que, inconsciemment, j'attendais depuis la veille. Ce n'était pas la première fois, mais à chaque fois, j'ai éprouvé un bonheur intense.

J'avais la chance d'avoir pour partenaires, deux hommes expérimentés, qui connaissaient parfaitement la fragilité des femmes quand elles sont ainsi livrées sans défense à leurs désirs. J'avais aussi la chance d'avoir deux étalons avec les mêmes armes, pour me donner le maximum de plaisir. Quand après une bonne heure de ce jeu sensuel, les hommes se sont libérés, ils réussirent à le faire simultanément, je fus parfaitement heureuse. Après une telle séance, le sommeil nous reprit, et le soleil était déjà haut quand le premier des trois ouvrit un œil. Après une douche réparatrice, je préparais le petit déjeuner. On le prit sur la terrasse, et le soleil était déjà chaud. Timidement je fis remarquer que je n'avais pas encore obtenu tout ce dont j'avais envie. Les deux hommes se regardèrent et sourirent. Me prenant par la main ils m'entraînèrent dans la chambre.

Les shorts tombèrent à nouveau, et je contemplais ces magnifiques instruments de bonheur. En quelques caresses je leur donnai vie. A les regarder de près, comme ça, c'était quand même très impressionnant, mais, tout cela était pour moi, rien que pour moi. Quand je léchais la dernière goutte , je me pris à regretter que cela devait forcément finir, et que le moment était arrivé.

Et puis là, alors que je ressortais de la salle de bain, je commis l'erreur qui allait rompre le charme.
La sonnette de la porte d'entrée retentit, nous rappelant qu'il existait un autre monde à l'extérieur. Sans plus y réfléchir je m'écriais : « Voilà, voilà, j'arrive !! » Et j'allais ouvrir. En traversant la pièce, je vis le regard étonné de Magnus. J'ouvris la porte. Une jeune femme, fort jolie, était là, souriante.

« Ha quand même ! J'étais inquiète, les stores fermés, le téléphone décroché, mais qu'est ce qui vous arrive mes chéris ? »puis elle se précipita sur moi et m'embrassa sur la bouche.
Je me rendis compte que le jeu était fini. Je me retournais vers les hommes, j'étais rouge de confusion. François s'amusait visiblement, Magnus nous regardait sans comprendre.François s'approcha de moi, me prit par les épaules et attira l'autre femme contre lui.

Puis se tournant vers Magnus, il lui dit :

Il est temps de faire les présentations :Magnus, je te présente   Valérie notre plus proche voisine qui n'est pas la dernière à aimer nos turpitudes. Et puis pendant que j'y suis, voici Noémie, ma femme !
Voyant l'air stupéfait de Magnus, je lui sautai au cou en riant.

«  Magnus, tu as été magnifique, je te demande pardon d'avoir joué à ce jeu. Et puis, je suis désolée, mais la maison n'est plus à vendre. Tu reviens quand tu veux, François est très amoureux. Et puis tiens je te fais un joli cadeau. En me tournant vers Valérie : Voici la plus jolie des agentes immobilières de la région, Elle a plein de jolies maisons à vendre ! »

Valérie s'approcha de Magnus le regarda dans les yeux et ajouta :

« Plein de maisons à vendre....  Et bien d'autres choses à  offrir !!!!!







Voir toutes les photos de Noémie.

 
Par eve anne
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