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  • : Le blog d'eve anne, Madrid.
  • : Le blog qui fait plaisir

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Premiers Extraits

Rencontre en forêt

tn Foret

J’ai fait une sortie  hier soir en fin d’après midi, et je ne sais pas pourquoi, j’ai pris mon VTT plutôt que le vélo. Dans les chemins de la forêt j’ai été doublée plusieurs fois par le même gros 4x4.  J’ai eu l’impression que le mec voulait attirer mon attention. J’ai remarqué, au moment où il me doublait, qu’il ne portait rien, il était torse nu. Nos regards se sont croisés, Puis il est parti loin devant. Il faisait doux, pas de vent, la forêt sentait bon. . . . . . . . .

La Devise du Québec

tn parlement quebec

Québec hiver 1876, en fin de matinée le soleil donnait à la ville gelée, les mille feux du diamant. Le froid était vif et les passants emmitouflés étaient peu nombreux. Pourtant, sur le trottoir ensoleillé, un homme ne semblait pas ressentir de gêne à déambuler tête nue, normalement vêtu, ou plutôt anormalement vêtu dans l'air glacé. Il n'avait pas de gants, et son regard bleu était perdu dans le rêve où il flottait. Il tenait à la main un petit rouleau de papier, et ce feuillet enroulé faisait de lui l'homme le plus heureux de la terre..............................

Le Testament de Benjamin Briggs

tn 200501454

 

Les arbres du Square Victoria commençaient à dérouler leurs feuilles. Florane-Marie D'Auteuil avançait à pas légers le long de la bordure du trottoir de la rue du Square Victoria. Malgré le soleil qui avait embelli la journée, l'air était encore frais. Elle tenait bien fermé contre sa gorge le col de fourrure de son manteau d'hiver. Florane était la fille d'un diplomate  français décédé au cours de l'hiver dernier. Après un séjour de trois ans en Bavière. Elle vivait à Montréal depuis deux ans......................

Les Jours de Liesse.

tn Milani

Il faisait un temps superbe ce jour là. Dans la petite bourgade de Saint André, ce village touristique de Haute Provence près du lac du Castillon, la saison touristique était à peine commencée. Pourtant, il y avait pas mal de monde en ville, et déjà quelques nageurs courageux dans les eaux glacées. Pour certains c'était déjà les vacances, mais pour d'autres, le travail était encore d'actualité. Il faisait déjà chaud. Pourtant, le bourg est à neuf cents mètres d'altitude. Le soleil comme toujours dans cette région était de la partie. Derrière les baies vitrées des bureaux, les employés commençaient à souffrir de la chaleur. .
.


La Chapelle Saint Domice

tn amiens chapelle st domice

Depuis que Karen avait disparu, Adrianne vivait l'enfer.
Elles étaient amies de longue date, ce qui semblait être pour les autres une camaraderie d'adolescentes, était en réalité un grand amour partagé. Karen et Adrianne poursuivaient avec brio leurs études de médecine. L'une serait Sage femme, et l'autre voulait être gynéco. Elles n'en étaient pas encore là,  elles avaient encore quelques années à travailler comme des esclaves pour espérer arriver à quelque chose.

Noire d'écume

tn cadiz cate

Les voyages sont sûrement ce qui me motive le plus. Lorsque j'ai choisi de faire ce métier, je n'y avais pas pensé réellement, ou alors, ce n'était pas l'élément fondamental de mon choix. Et pourtant, c'est ce qui m'apporte le plus. J'adore voyager. Me rendre au pied levé dans telle ou telle ville, ou dans ce pays ou un autre, est pour moi le plus grand des plaisirs. Ce n'était pas à priori évident. Il faut apprendre à voyager, comme il faut apprendre l'envie de voyager

Le Chemin de Badajoz

tn Teresa

Teresa fatiguée, s’arrêta au bord de la route sur un petit refuge, à un kilomètre environ du carrefour de la route nationale,
à la sortie de Talavera de la Reina.   Elle hésita un moment avant de prendre une carte dans la boîte à gants. Elle était de mauvaise humeur. C’était un geste machinal, car en fait, elle connaissait bien la route. Mais en cette fin de journée, elle ne se sentait pas bien, ni dans son corps, elle avait froid, ni dans son esprit, elle était là à contrecœur.


L'infirmière d'Ambazac.


tn Ghylaine 9

Excusez moi de vous déranger, je m'appelle Ghylaine, et je suis infirmière à Ambazac. » Elle était un peu plus grande, très mince, les cheveux mi-longs, coiffés à la diable. Le maquillage assez discret, un rouge à lèvres  framboise, les sourcils très noirs, les paupières ombrées. Un grain de beauté sur la lèvre supérieure à gauche. Le premier examen était favorable. Ghylaine souriait, Laurence lui rendit son sourire.


Un douze Avril

tn Joelle et moi

Un 12 avril …. Oui c’était un 12 avril, je m’en souviens très bien, c’était le jour d’anniversaire de ma maman, et j’étais allée déposer une potée de tulipes sur sa tombe, des tulipes perroquets rouges et blanches, ses préférées. C’était la fin de l’après midi, à l’heure où le soleil, bas sur l’horizon, allonge les ombres, et colore la nature du vert jaune des feuilles naissantes, du bleu de ciel et de blanc nuages. Il faisait beau, il faisait doux. Sur l’autoroute il y avait peu de circulation ou du moins elle était fluide

Le Chaos de Targasonne

tn Pisc


Sur les hauteurs des Pyrénées-Orientales, la Cerdagne est un vaste plateau  ensoleillé, un encorbellement entre le mont du Carlit, et celui de Puigmal, tous deux culminants aux alentours de 3000 mètres. La Cerdagne est à une altitude de 1600 mètres en moyenne, et elle a la particularité d'être une région fertile, bien que de haute montagne, puisque l'on y récolte des céréales, du blé principalement. On y vient de Perpignan par la route qui monte à Font Romeu, ou par le côté Espagnol en traversant l'Andorre.

Le Coupe Chou

tn Le coupe chou 1

La Gare de Lyon à l’heure des grands départs, est habitée d’un esprit particulier. Peut être est-ce simplement la concentration des voyageurs en attente. C’est cette odeur particulière, faite d’humanité, d’ozone et de poussière. Ce grand espace qui fait face aux quais, animé de ses panneaux affichant les horaires, et les milliers d’yeux, levés vers les chiffres verts qu’ils ne semblent pas comprendre .Et puis ce sont tous ces jeunes avec sacs au dos, assis sur les murets des escaliers descendant au sous-sol .Ils fument, ils mangent d’énormes sandwiches, vident quantité de boîtes de bière ou de Coca. Ils dorment ou s’embrassent, l’amour des fois, se fout du décor .

La Mante


tn aigumidi

 Je la reconduisis à la porte. Les quelques pas qu'elle fit devant moi suffirent à provoquer mes plus secrètes fêlures. Sa démarche, ses bottines à hauts talons, son jean élimé aux fesses, ses fesses rondes perchées sur des jambes interminables, ce perfecto, qui était choisi sans doute uniquement pour mettre ses fesses en valeur, et cette chevelure de jais, coupée court, très bas sur la nuque, avec cette mèche savamment rebelle qu'elle remettait en place d'un mouvement de tête des plus étudié. Deux anneaux dorés apparaissaient alternativement au rythme de son pas décidé..Elle s'arrêta sur le palier, se retourna.

 

                              

 

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XXV-Mélusine.
 

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C’était peut être un p’tit con, mais qu’il me fasse l’amour comme ça, et je me chargerai du reste.

eve anne.

                                            Je retrouvais l’appartement avec soulagement. Sur le paillasson, une grande corbeille de fleurs blanches, envoyée par l’ensemble des habitants de l’immeuble. Nous étions sidérés, nous n’avions pas de relations particulières avec les autres locataires. J’étais épuisée de cette journée d’intense émotion. J’étais heureuse de la sympathie qui m’avait été témoignée. Heureuse que mon dernier baiser fut pour Marie-Noëlle. Christian me parla sur un ton plein d’attention :
«Alors ma chérie, tout s’est bien passé ?
-Oui, mon chou, mais je suis épuisée. Je vais me doucher.
-Oui, vas-y, j’irai après. » Chacune des femmes que j’aime m’aurait accompagnée sous la douche. Mais bon ! Là c’est autre chose… J’avais mis un bonnet, je ne voulais pas mouiller mes cheveux, sûre qu’ils faisaient partie de mon charme. L’eau chaude à forte pression me fit du bien. Je regardais l’eau s’écouler entre mes seins. Je pensais que Marie-No en était au même point, que Maud se caressait en pensant à moi, et que Josépha savonnait avec bonheur l’ineffable poitrine de Simone. J’étais assise sur le lit, et j’entendais couler l’eau sur Christian. C’est vrai que j’étais une femme partagée, une femme infidèle, une jouisseuse, une pute comme disait ma sœur, mais j’étais aussi pleine d’amour. L’amour que je donnais aux uns, je ne le prenais pas aux autres. J’entendis que l’eau s’arrêtait de couler. Christian allait entrer dans la chambre. Je l’aimais Christian, c’était sûr. C’était sûrement un p’tit con, mais il avait une belle bite. Et dans l’instant, c’était important. J’étais prête à me donner complètement, autant de fois qu’il le voudrait, et de toutes les façons qu’il imaginerait. C’est vrai que je me donnerai aussi et encore à des femmes, mais jamais à aucun autre homme que lui. Je faisais mille prières pour qu’il soit doux et amoureux. S’il me dit qu’il est fatigué et qu’il veut dormir, je le tue. Il sortit de la salle de bain, avec une serviette à la main en se frottant les cheveux. Il arborait une magnifique érection. C’était l’eau chaude ou moi ? Un sexe rigide et beau, d’une verticalité rigoureuse, épais, tendu, aux veines saillantes, au gland bien dégagé. Les testicules étaient le complément idéal de ce tableau. Et tout ce beau monde indemne du moindre poil. Cela me fit un plaisir immense de voir ce beau mec, prêt à me prendre, à me pénétrer et m’inonder de ses cascades de sperme épais. J’en avais envie. Follement envie. Il s’approcha du bord du lit, et le sexe était à la hauteur de mon visage. C’est tout naturellement, que j’avançais les lèvres, doucement, pour en sentir la forme, la chaleur, la consistance, le goût. C’était la première fois, c’était ma promesse. Je savais que je pouvais le faire, et qu’il aurait encore les moyens de recommencer à m’aimer comme ça ou autrement. C’était très gros, c’était très long, ma bouche était complètement occupée, et je sentais l’extrémité au fond de ma gorge. Il restait debout, et m’avait pris la nuque entre ses mains, il me caressait doucement les cheveux. Je commençais à trouver le moyen d’aller et venir de bas en haut, et je sentais le sexe vivre dans ma bouche. Mes mains le tenaient par les fesses. Je pris doucement les testicules pour les masser lentement. Je sentis qu’il aimait ma caresse. Il bougea un peu pour écarter les jambes. Je passais une main entre ses cuisses, et je cherchais « la porte étroite ». Je la trouvais, et je me mis à la caresser aussi, doucement. Christian appréciait ma caresse. Je le sentais. Il s’ouvrait à mon doigt, J’étais follement excitée. Je ramenais ma main pour tenir la base du sexe, afin d’augmenter l’effet de la masturbation. Je sentais son plaisir monter, je sentais ses cuisses se raidir, son ventre se creuser, et une force poussant le sexe encore plus au fond de ma gorge. Il allait venir, j’attendais, encore quelques secondes, je repris ma caresse anale, et je commençais à le pénétrer très doucement. Son anus se dilatait, je le sentais bien, il aimait ça. Puis ce fut l’explosion, je suffoquais, un cyclone tournoyait dans ma bouche, je n’arrivais pas à tout avaler, je manquais d’air et je sentais que tout s’écoulait sur mon menton, mes joues, mes seins. Je sentais ses spasmes se répéter, et à chacun d’eux, une nouvelle quantité de liquide m’emplissait la gorge. Mon doigt était totalement absorbé par l’anus que je sentais palpiter. C’est seulement vers la fin, que je sentis la texture bizarre du sperme le goût et le parfum. C’était la première fois, et c’était une réussite, j’avais aimé, j’avais adoré. Que de bonheur ! Je retirais mon doigt en douceur, il libéra ma bouche. De mes mains, j’étalais le sperme sur mes seins, mes joues mes lèvres, j’en voulais partout. C’était bon, le goût persistait sur ma langue. Je suçais mon doigt, je portais à ma bouche les traces de sperme que je récupérais un peu partout. Christian me renversa sur le lit, et après m’avoir léché le bout des seins, il descendit vers mon ventre. J’étais chaude, prête à jouir, complètement noyée, il n’eût pas beaucoup de mal pour m’envoyer au sommet de mon plaisir. Mais il continuait inlassablement, et je me sentais repartir. Mes lèvres me brûlaient, il suçait avidement mon clitoris dressé. Je me sentais bander à mon, tour, jusqu’à une nouvelle explosion. Je le tirais vers moi, je voulais l’embrasser, toute badigeonnée de ce sperme qui commençait à se diluer et que je sentais couler de partout. Il m’embrassa, je sentis sa langue parfumée de mon sexe. J’avais le goût de mes lèvres sur sa bouche. J’osais une main, et je sentis qu’il commençait une nouvelle érection, celle que j’attendais, sachant que je ne m’en lasserai pas. Il m’entraîna sur le côté en me tirant pour me mettre à quatre pattes. J’attendais ce moment. Je savais l’effet que ça allait me faire, c’était une caresse à laquelle je m’étais préparée. J’avais mis une noisette de vaseline à l’entrée. Je savais que son sexe était assez gros, et je ne voulais pas gâcher notre rencontre par une douleur, voir une déchirure. Je sentais que j’avais l’anus dilaté par le spray que j’avais vaporisé, je savais que je n’aurais pas mal, parce que l’aérosol avait un pouvoir insensibilisant de courte durée. Je sentis quand il posa son gland à l’orifice, et je n’attendais plus qu’il entre en moi, je reculais mes fesses pour aller à sa rencontre, et en une seule fois il pénétra complètement. La sensation fut celle que j’attendais, un glissement agréable et une dilatation en douceur. Il commença des va-et-vient, dans un mouvement lent et profond. Je sentais que je repartais pour une nouvelle escalade. Mais il prenait son temps. Il s’arrêta même, posant son torse sur mon dos, et d’une main commença à me masturber, et de l’autre à me pincer le sein. J’eus deux orgasmes coup sur coup. Il reprit son mouvement en accélérant progressivement. Je sentais que mon anus s’échauffait, et je sentais nettement les testicules me frapper les lèvres. Je fus persuadée dans l’instant, que j’allais mourir. Je ne voyais plus clair, les larmes de plaisir me brouillaient la vue, et je m’entendis hurler alors que je jouissais une nouvelle fois. « Je bougeais mes fesses pour que le mouvement s’accélère, il fallait qu’il vienne, je ne pourrais plus tenir.
« Viens vite, tout au fond, je le veux tout au fond, je t’attends viens vite. » Je ne sentis pas l’éjaculation, mais je sentis ses spasmes, plusieurs, il avait arrêté de bouger, et je voulais rester comme ça. Mes fesses étaient au contact de son ventre, ses testicules reposaient contre ma vulve éclatée. Il ne fallait pas que ça finisse. Mais c’était présumer de mes forces, et je m’écroulais à plat ventre. Avec une douceur infinie, il me remit sur le dos, et de la serviette encore humide, m’essuya le corps luisant du mélange parfumé de sueur et de sperme. Il se coucha sur moi doucement, et pour la première fois, j’appréciais sentir le poids de son corps. Je savais qu’il pouvait encore bander, je savais que l’on pouvait repartir dans les étoiles. Il posa sa tête sur mon épaule, contre ma joue. Il me murmurait des mots que je ne comprenais pas. Et moi je répondais à ce que je croyais être ses paroles :
« Oui, mon amour, aime moi encore, aime moi, emmène moi encore et encore. Je ne veux plus arrêter ! » Il me prit en douceur, mais ça ne dura pas longtemps, j’explosais tout de suite, et c’était si violent qu’il en fut déstabilisé. Je sentis son érection baisser d’intensité. Il sortit son sexe de mon refuge, et me dit,
« Attends un peu, je suis épuisé, ça va revenir.
-Je vais t’aider laisse moi faire. » Je suçais mon annulaire, celui ou brillait une superbe alliance, pour l’enduire abondamment de salive. Et j’introduisis mon doigt dans le méat de son sexe. J’avais les doigts graciles, et je n’eus aucune peine à le pénétrer entièrement. Surpris, sans doute, l’érection reprit de plus belle. Mais au lieu de reprendre sa pénétration, il commença à faire des va et vient autour de mon doigt. J’avais la main posée sur mon ventre, et il « baisait » mon doigt. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir une nouvelle fois. Je retirais mon doigt pour ne pas gêner l’éjaculation qui continua sur mon ventre. Je récupérais ce que je pouvais pour le porter à ma bouche. Puis il se mit à lécher mon ventre et vint m’embrasser avec le sperme dans la bouche. Véritablement épuisés je crois que l’on s’est endormis comme ça. Puis on s’est réveillés, et on est allé sous la douche tous les deux cette fois. J’avais l’impression que nous venions de franchir un cap. Et c’est lui qui parla le premier.
« Si c’est ça la nuit de noces, j’aimerais qu’on se remarie demain.
-Et après demain, j’aimerais aussi. » Ma joie était immense, il m’avait fait l’amour comme un amoureux, avec plein de douceurs, d’attentions, de précautions, il avait pris soin de mon corps, de mon plaisir, de m’amener là où il savait que je voulais aller. Il avait accepté mes caresses inhabituelles. C’était peut être un p’tit con, mais qu’il me fasse l’amour comme ça, et je me chargerai du reste. Et nous nous sommes étendus sur le lit. Moi sur le dos, lui sur le côté, il me caressait les seins, il me parlait doucement. Je découvrais les mots doux après l’amour, et ça me faisait beaucoup de bien.
« Je ne pensais pas que tu saurais me faire tout ça !
-Moi non plus.
-Si je ne te croyais pas, je jurerais que tu avais déjà fait toute ta vie !
-Non, c’est la première fois, je peux le jurer, mais j’ai tellement fantasmé sur le sujet. J’avais tellement peur de ne pas réussir.
-Hé bien pour un coup d’essai, tu es extraordinaire ma chérie, tu m’as fait l’amour comme jamais je n’aurais espéré le faire. J’espère que tu as pris autant de plaisir que moi !
-Sûrement plus. Pour une fois que tu as joui, j’ai eu deux ou trois orgasmes. C’est parce que tu m’as baisée comme j’avais envie d’être baisée ! Je pense que je ne pourrai plus m’en passer. J’adore le sperme, c’est une révélation. J’en avais tellement peur, alors que c’est tellement bien.
-Ça doit dépendre aussi du moment et le l’ambiance ?
-Tu veux me dire qu’il faudra que l’on se remarie pour le refaire ?
-Sans doute ! Tu sais que tu m’as fait des trucs incroyables ?
-Bien sûr que je le sais. J’en avais envie, mais j’avais peur que tu n’aimes pas.
-Puisque c’est toi qui le fait, il n’y a pas de raison que je n’aime pas.
-Toi aussi, tu m’as fait des trucs. Pour derrière, j’avais tellement peur d’avoir mal que j’avais mis un peu de vaseline, et un spray que j’ai acheté en pharmacie, et qui insensibilise un peu, oh ! Pas longtemps.
-Ah ! Voilà pourquoi ça glissait tout seul ?
-Oui, y avait un truc ! Et grâce à ça, c’était super.
-C’était une bonne idée. Et le doigt dans la bite ?
-ça je l’ai lu dans un roman ! (les conseils de Simone)
-Tu as de saines lectures !
-Ben oui, il faut entretenir sa culture. Ça t’a fait du bien ?
-Ça m’a surtout excité.
-Apparemment oui ! » On parla encore un peu, puis je m’endormis la première au moment où je sentais qu’il remontait la couette sur moi. Je me réveillais en pleine nuit. Il dormait. J’hésitais un moment, et je glissais ma main vers lui. Le sexe était au repos, et très doucement, je le mis en mouvement. Je sentis tout de suite qu’il réagissait. Peut être rêvait-il de moi ? Je repoussais la couette doucement. L’érection était totale maintenant, et je commençais à le masturber. Je sentis qu’il se réveillait, mais il me laissa faire. Je savais bien  le faire maintenant, et je sentis très vite qu’il venait. Je me précipitai juste à temps pour prendre tout dans la bouche. La quantité était nettement moins importante, et je n’en perdis presque pas. Je retrouvais le même goût, le même parfum, cette épaisseur, cette douceur crémeuse, et j’avalais tout ça avec avidité. Je léchai le bout pour ne pas en perdre une goutte. Quand il fut redescendu, je ramenais la couette sur lui, et je me rendormis. Lui n’avait pas bougé, pas dit un mot, il avait bandé et joui, c’est tout. Le matin venu, au réveil, je voulus qu’il m’apprenne un nouveau jeu.
« Tu te mets sur moi, tu te branles et tu jouis dans ma bouche.
-Mais c’est la même chose ?
-Je ne sais pas, je te dirai. Mais au moins je verrai tes yeux quand tu jouiras dans ma bouche. S’il y en a trop, tu me le mets partout sur le visage.
-Même dans les yeux ?
-Partout. Ha oui, j’oubliais, je voudrais que tes couilles tapent sur mes seins.
-Pourquoi pas, il suffit de demander. Ça serait plus net avec un cock-ring.
-C’est quoi cette bête là ?
-C’est un anneau que l’on se met autour du sexe et ça prolonge l’érection.
-Alors mets-le !
-Je n’en ai pas.
- On s’en passera, on trouve ça où ? Chez Carrefour ?
-Non, il faut aller dans un sex-shop.
-Tu iras lundi.
-Bien madame. » Et il commença à se branler. Je regardais ça avec intérêt. C’était beau à voir, et je sentais que les couilles frappaient mes seins. Ça me faisait mouiller. J’eus l’idée qu’après, il pourrait se branler entre mes seins. Et jouir entre mes seins.
« Prépare toi, ouvre la bouche, fais attention de ne pas t’étouffer. » Je vis son visage grimacer, il se concentrait très fort, et il éclata. Je vis un jet puissant sortir, et je le sentis frapper ma gorge. Après je ne sais plus ce qui s’est passé. J’en avais plein les yeux sur les seins, dans les cheveux, les oreilles, partout. Je me régalais. Quelle belle invention la bite. Et dire que je n’ai pas connu ça plus tôt. Après quand il eut récupéré un peu, il se branla entre mes seins. Je les serrais autour de son sexe. Je voyais le méat par où allait sortir un nouveau jaillissement. Je le regardais fixement, et le jaillissement m’atteignit entre les deux yeux. J’avais appris plein de nouveaux jeux, j’étais super contente.
« Si tu continues comme ça, je vais perdre un kilo par jour !
-Prétentieux, tu ne m’en mets qu’un petit peu à chaque fois !
-Oui, mais il y a eu plusieurs fois !
-C’est vrai. Bon tu peux te reposer jusqu’à ce soir.
-Mais non, on va faire du vélo !
-Mais t’es malade? tu ne pourras pas faire deux km dans l’état où tu es !
-Et toi ?
-Quoi moi? je suis en pleine forme.
-Je vais appeler Marie-No !
-Ça faisait longtemps !
-Allo madame Tessier ? La sortie à vélo C’est prévu ?
-Non, ils iront sans nous.
-Ils vont se perdre.
-A tous les coups. Ça va ? Tu l’as fait ?
-Oui !
-Tu as aimé ?
-Assez, je t’en reparlerai. On se voit aujourd’hui ?
-Bien sûr, à tout à l’heure ! » J’appelais l’hôtel Napoléon ! « Allo Simone ?
-Oui cocotte comment vas-tu, tout s’est bien passé ?
-Très bien, tu as bien dormi ?
-Oui, très bien. Elle est bien tu sais la Puce !
-Embrasse la de ma part surtout. Vous repartez quand ?
-En début d’après midi sûrement. Je peux vous inviter à déjeuner la Puce et toi ? Bien sûr, les autres sont repartis hier soir. Ok, on passe te chercher à Midi. Tu as une voiture ?
-C’est la Puce qui conduit !
-Parfait à tout de suite. » Je rappelais Marie-No.
« Re-moi,
-Tu t’ennuies ?
-Un peu, on vous prend à midi, je vous invite à déjeuner avec Simone.
-Sensas ! On se fait une pizza ?
-Oui ! Gagné ! A tout de suite. »
« Prépare toi mon grand, je vous offre le restau à midi !
-Dis donc l’amour te donne des ailes !
-Et faim aussi. Il y a de l’essence dans ton char ?
-Evidemment on va où ?
-A Saint Jean ! Mais on passe prendre Simone et la Puce, Marie-No et son mec. J’appelle la bonne idée.
-Dis donc, tu es riche !
-C’est pas tous les jours que tu me fais l’amour comme un dieu !
-Ok, ça compensera les kilos que j’ai perdus ! »
« La Bonne Idée », à Saint Jean Aux Bois, est sûrement le plus beau restaurant de la région de Compiègne. En hiver, ça perd un peu de son charme bucolique, mais à l’intérieur on y gagne par les ambiances éclairagées, et la merveilleuse cheminée à feu ouvert. Le décor est magnifique, le service, hors de tout reproches, et la carte originale et succulente. Je voulais absolument faire plaisir à Simone en l’amenant ici. Je sais que pour nous quatre, une pizza aurait suffi. Mais Simone m’avait tellement emmenée de fois dans son restaurant parisien que j’étais heureuse de lui offrir ça.
«Alors Simone chérie, que penses tu de ce petit bouiboui ?
-Je suis sans voix. Quand je pense à tous les parisiens qui pensent avoir ce qu’il y a de mieux sous la main ! Mais ça doit être hors de prix ? On a les moyens de venir ici quand on est militaire ?
-Marie-No, on lui dit ?
-Nous passons pour être des jolies femmes, et pour jouer les plantes grasses, on a une remise importante. Il suffit de se faire belles, et de sourire.
-Mais c’est du racolage !
-Ho le vilain mot ! J’aurai du mal à pardonner. Non, Monsieur, c’est du public relation, simplement.
-Personne ici, ne nous a jamais importunées, il ne manquerait plus que ça. Les clients fortunés, hommes ou femmes, vont plus facilement là où il ya des jolies femmes que dans les bars à radasses !
-C’est évident, je suis enchantée d’être ici, d’autant plus que j’ai droit à tout : le cadre magnifique, les belles femmes et les beaux garçons.
-Et moi ?
-Et toi bien sûr ma Puce, tout le monde sait que tu es ma préférée. » Le patron vint nous accueillir, heureux bien sûr de nous voir.
«Voici les plus belles parmi les plus belles »Et on lui présenta nos maris.
-Vos maris ?
-Oui, nous nous sommes mariées hier. Toutes les deux en même temps !
-C’est donc ça dont on m’a parlé ce matin ? Un mariage avec de la musique militaire ?
-Oui, original n’est ce pas ? 
-Cela a fait forte impression en tout cas. On m’a dit que pour l’une des mariées, on a joué « auprès de ma blonde »
-Oui, pour cette jolie blonde « Auprès de ma blonde » au lieu de la marche nuptiale ! C’était bien choisi !
-C’était mérité. Vous êtes divinement belle. Vous aussi eve anne bien entendu.
-Bien entendu ! Il était temps ! Il a failli y avoir un meurtre ! »
-Je vous offre l’apéritif alors. »
«Tu vois Simone comment les bidasses se débrouillent ?
-Je sens que vous n’avez pas fini de m’étonner ! Je vous adore. Depuis que je connais eve anne, et maintenant Marie-Noëlle, ma vie a changé. Il me semble avoir rajeuni de vingt ans.» C’était l’approche de Noel, cela expliquait le peu de monde dans ce restaurant hors du commun. D’ailleurs dehors le froid était très sensible. Une table proche était occupée par des femmes d’un âge certain. Pour une fois, c’était les garçons qui étaient les vedettes. Ça change !
«Tiens-toi bien Christian. Pas de racolage ! » Le repas fut un vrai bonheur. De ces moments dont on se souvient, quand on est avec les gens que l’on aime. Simone repartit directement chez elle, conduite par ma Puce qui ne buvait jamais d’alcool. Et nous quatre, nous sommes restés près de la cheminée, un bon moment, évoquant notre mariage réussi, et notre solide amitié.



 J’étais assise sur un pouf, Marie-No me tenait la main, et les garçons discutaient joyeusement. Le bonheur à l’état pur.




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Suite 

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tn MelusineD

 

Par eve anne
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