Le blog d'eve anne, Madrid.

 

 

 

 

conchabuika

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De pronto no paro de llorar escuchando esta canción. Hubo un tiempo en que me identifiqué tanto con la letra y lo único que me provocaba al escucharla era llorar, llorar y llorar. Afortunadamente, ahora lloro de felicidad porque sigo junto a la mujer que amo. Gracias Dios mío!

Commentaire de M.Chancay, Youtube

No Habra Nadie En El Mundo

Desde que el agua es libre,
Libre entre manantiles vive,
jazmines an llorado,
y yo no comprendo
como en tus ojos niña solo hay desierto.
Hermosa era la tarde, cuando entre los olivos nadie,
nadie vio como yo a ti te quise, como te quiero.
Hoy los olivos duermen y yo no duermo.
No habra nadie en el mundo
que cure la herida que dejo tu orgullo,
yo no comprendo que tu me lastimes
con todo todo el amor que tu me diste.
Pá cuando tu volvieras, pensé en cantarte coplas viejas,
esas que hablan de amores y del sufrimiento,
cuando tu vuelvas niña, te como a besos.
y volaremos alto donde las nubes van despacio.
despacio va mi boca sobre tu cuerpo,
tan lento que seguro se pare el tiempo.
No habra nadie en el mundo
que cure la herida que dejo tu orgullo,
yo no comprendo que tu me lastimes
con todo todo el amor que tu me diste...

Copyright: Writer(s): Francisco Javier Lopez Limon
Copyright: Chrysalisclip Music S L, Ediciones Limon S L Lyrics powered by www.musiXmatch.com

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« On ne peut pas s'empêcher de croire à un avenir meilleur, tant qu'on sera là pour assister aux évolutions imprévisibles de cette interprète sans limites ».
Les mots sont du réalisateur espagnol Pedro Almodovar et figurent dans le livret d'El Ultimo Trago (2009), un hommage au répertoire de l'immense chanteuse mexicaine Chavela Vargas que Buika s'appropriait avec une facilité déconcertante. Voilà plus de dix ans que Buika et sa voix sidèrent tous ceux qui passent à sa portée et les « exposent à leurs propres blessures sentimentales », toujours selon Almodovar. La palette technique impressionne, certes, mais bien moins que le souffle de l'âme qui la gonfle jusqu'à la porter au bord de vertigineux précipices. Buika est née au début des années 70 sur l'île de Majorque que ses parents, exilés politiques, avaient gagné pour fuir la Guinée Equatoriale du despote Francisco Macias Nguema. Son père déserte le foyer quand elle est âgée de neuf ans. Seule enfant noire du quartier, elle fréquente la communauté gitane voisine, dont elle s'imprègne des rythmes et des chants flamenco. Jeune adulte, elle part vivre un temps à Londres de petits boulots, revient à Palma de Majorque chanter dans les bars, glane quelques séances d'enregistrements, décroche un engagement pour incarner Tina Turner dans un casino de Las Vegas. Un premier album prometteur, en 2004, attire l'attention du producteur de flamenco Javier Limon. Association magique. Trois disques suivent, d'un flamenco irradié de jazz, de soul et des incandescences d'une voix sensuelle et vénéneuse, considérée par la radio publique américaine NPR comme l'une des cinquante plus belles de tous les temps. Aujourd'hui installée à Miami, Buika reparaît avec La Noche Mas Larga, sans Javier Limon. La couleur dominante est à un latin jazz mordu de flammèches soul et flamenco. Le disque comporte des interprétations fort personnelles de Ne Me Quitte Pas ou du Don't Explain de Billie Holiday. Sa voix continue d'y explorer des territoires qu'elle-même se refuse à expliciter, préservant le mystère de son art de la même façon qu'elle élude toute réponse directe.

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Cuando tu te hayas ido
me envolverán las sombras
cuando tu te hayas ido
con mi dolor a solas.

Evocare el idilio de las azules horas
cuando tu te hayas ido
me envolverán las sombras

Y en la penumbra vaga
de la pequeña alcoba
cuando una tibia tarde
me acariciabas toda

Te buscaran mis manos
te besara mi boca
tu aspirare en el aire
aquel olor a rosas
cuando tu te hayas ido
me envolverán las sombras.

Y en la penumbra vaga
de mi pequeña alcoba
donde una tibia tarde
me acariciabas toda

Te buscaran mis manos
te besara mi boca
tu aspirare en el aire
aquel olor a rosas
cuando tu te hayas ido
me envolverán las sombras.


luz-casal-descubrelugo

Luz Casal

Avez-vous vu, dans Barcelone, 
Une Andalouse au sein bruni ? 
Pâle comme un beau soir d'automne ! 
C'est ma maîtresse, ma lionne! 
La marquesa d'Amaëgui ! 
………………………………………………. 
Qu'elle est superbe en son désordre, 
Quand elle tombe, les seins nus, 
Qu'on la voit, béante, se tordre 
Dans un baiser de rage, et mordre 
En criant des mots inconnus !

...............................................................

Allons, mon page, en embuscades ! 
Allons ! la belle nuit d'été ! 
Je veux ce soir des sérénades 
A faire damner les alcades 
De Tolose au Guadalété

Extrait de l'Andalouse: Alfred de Musset

  G345193 b

 

aquatre

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Mer 25 oct 2000 1 commentaire

Manifique chanson, merci eve anne.

AL - le 17/03/2017 à 12h18

Tiens , les commentaires re-marchent ! C'est vrai qu'elle est jolie..

eve anne